Votre histoire la plus triste en équitation ...

J'ai eu l'idée de lancer ce sujet car sinon on parle de nos cours, etc mais jamais de ça ...

Moi j'en ai deux dont une plus triste que l'autre, je commence par celle là ...

C'était il y a deux ans environ, dans mon centre équetsre, un nouveau petit poney arriver, il s'appelait Nuage mais il yen avais déjà un dans les écuries, donc, nous l'avons rebaptisé P'luch ... Il était pie-alezan et mesurait environ 1m20 ...
Je l'ai monté une fois en saut, je me rapelle des petits sauts de moutons qu'il faisait et que j'avais sauté pour la première fois 75cm !!!!!
Mais voilà que un mois après environ, une monitrice l'a découvert un matin, couché dans son box, ensueur, il avait réussi à enlever sa couverture à force de se rouler. Il avait une colique ... La monitrice ll'a fait marcher et à appelé le véto et l'autre monitrice. Le véto n'a pas pus lui donner de l'huile pour que cela fasse glisser les crottins pour qu'ils sortent ... Ensuite, ils ont essayaient de l'emmener dans la clinique la plus proche, mais il n'a pas tenu le coup ...

La deuxième erst beaucoup moins triste, elle est surout triste pour moi ...
Il ya deux mois environ, j'arrivais au centre équestre un jeudi soir quand j'apercus un grand poney alezan, or je ne le reconnaissais pas ... J'allat donc dans les écuries, celle qui l'avait monté étaoit une stagiaire que je connaissait bien, on parla donc de lui, il s'apelait Névaio ...
Il était beau !!!! On aurait dit un pur sang arabe. J'appris qu'il était à l'essais pour le club. Je mourrais d'envie de le monter et je me disais que je ne le monterais pas avant longtemps !!!! Je pensais qu'il allais être pris.
Le samedi après midi, je montais dans un cour, j'étais entrain de ressangler mon cheval quand la mono vint me voire et m'appela, je me demanda encore ce que j'avais fais.
Mais ce qu'elle me demanda n'était pas du tout ça elle m'a dit :
"Chloé, puisque tu aide beaucoup, que tu as un bon niveau et que tu viens tous les soirs, tu sais peut-être que La stagiaire finit son stage cette semaine ??? Le problème c'est que je n'ai personne pour monter Névaio, tu pense que si ta mère accepte, tu pourrais le monter tous les soirs ???" Je lui répondis que je téléphonerais à ma mère ljuste après le cour. J'étais entrain de réver, surtout que ma mère accepta !!!!!
Je commenca à le monter le lundi, il n'acceptait peut être pas qu''on ait les rênes ajustés, qu'on mette nos aides de départ au galop, par contre il réagissait super bien à la voix ... Bref, ce fut le coup de Foudre. Moi j'aime les chevaux mais surout ceux affectueux c'était son cas...
Je continua donc à le monter, jhe le fis même monter en liberté (il sauta 1m5 en oxer !!!, je trouve ça pas mal pour un 4 an !!!!!!).
Je sauta aussi avaec lui, il était impec !!!!! Un mercredi, je sauta une 2ème fois avec lui et la c'était la cata, il donnait un couup de pied à la réception de chaque obstacles , normalent le CE le gardait, la viste véto était le lendemain.
Ma copine arriva plus tôt que moiau centre équetsre et m'enve disant :
Iloya un sms m ne garde pas Névaïo car il à été castré trop tôt et qu'il aurat surement des problèmes plus tard ..."
J'étais tellemment triste que j'en ai pleuré toute la soirée ...

Voilà mes hisyoires et vous ???

Voilà peut être quelque chose qui vous mettra en colère!!!! J'ai trouvé ça lorsque je voulais me renseigner sur les outils de maréchal ferrant:



"COUR D’APPEL D’AMIENS – CHAMBRE 1 – SECTION 2 – 8/6/2004

Mademoiselle L. est propriétaire d’un cheval. Elle réclame 50.000 F de dommages et intérêts à son maréchal-ferrant, en raison de ses actes de violences et de maltraitances sur son animal. Déboutée, elle saisit la Cour.

La juridiction rappelle que « le contrat existant entre Madame L. et Monsieur D. ayant pour objet le ferrage des chevaux appartenant à un même propriétaire sans déplacement des animaux hors des locaux de ce denier n’est pas un contrat de dépôt, mais un contrat d’entreprise, le maréchal-ferrant s’obligeant à exécuter essentiellement un travail sur l’animal ; que le contrat de ferrage ne comporte, sauf clause contraire, qu’une obligation de moyen en ce qui concerne la sécurité de l’animal ».

Mademoiselle L avait constaté « de multiples blessures » sur son cheval réputé calme au ferrage et « exempt de méchanceté ou de vice ».

Mademoiselle L. versait une attestation indiquant que le maréchal s’était « montré particulièrement brutal », donnant « des coups de pieds dans le ventre ». Trois témoins avaient vu le praticien « frapper le cheval sur les flancs, avec le manche en bois du tord-nez » et avaient constaté que le maréchal « avait appareillé le cheval avec un système constitué de cordelettes relativement fines avec crochets à une extrémité qui avaient été installées sur la partie supérieure des naseaux du cheval, passant derrière les oreilles et retour dans la bouche. A l’autre extrémité, une jeune femme assistante du maréchal tirait sur les ficelles. Le cheval avait la bouche grande ouverte, la tête en l’air et semblait complètement tétanisé et tremblait de tous ses membres » ( sic ).

De son côté, le maréchal versait des attestations démontrant son professionnalisme et les risques du ferrage.

Les juges notent que le maréchal « doit obtenir la soumission et l’immobilité » et ne relèvent donc pas de faute dans le comportement du praticien.

La Cour confirme."

[size=24]No coment!

c' est affreu!!! ce sont des malades mantau les gens comme sa !!!!! je suis choquée!!!

Moi je vous la raconterais plus tard car la il est tard est apres jorai le moral a Zero deja qu'il est bas...

Mwa je viens de me rappeler du quelque choses en écrivant ma journée d'aujourd'hui.
Dans la collo ou je vais tout les été, il y avait un vieux cheval se nommant Pirate, et l'année derniére, a cause de la chaleur il est mort dans son prés...
Dans cette collo justement (je viens d'y repenser a l'instant!!) il y a un cheval qui s'apelle Elliot, et c'est un "récupéré" de la boucherie.
Son ancien propriétaire l'avait laissé a l'abandon dans son prés aprés lui a voir crevé un oeil.Quand les directeurs de la collo l'ont récupéré il était maigre comme un clou, et c'est grace a une monitrice de la collo (qui venait avant comme collon ^^) qu'il a répris gout a la vie.
malgré tout il reste traumatisé a vie, et il a des "rechutes" :(.
J'ai des photo de lui et on vois qu'il est encore maigre...J les mettrai quand je les auraient hébergées...

Moi jai vu dans un magazine que pour recupéré le colostrum qui se situe dans les hurine des jument pleine on les faisait saillire et on les metai dans des stalle noir avec un plastique pour récupéré l'urine et elle n'avait que de l'eau.
Une foi le poulain née on lenvoyai a l'abatoire est c'etait le meme sor pour les jument une foi quelle ne pouvait plus avoir de poulain.

Trop triste moi je dit NON A L'HIPPOPHAGIE ET DONC A L'ABATTOIR

Moi l'histoire la plus triste que j'ai connu, c'est lorsque Maya est morte! C'étais un jour de stage, et on allait chercher les poneys au prés! Quand on pense les avoirs tous récupéré, on descend avec les poneys et arrivé à l'écurie, on remarque que May n'est pas là, et c'est pas dans ces habitudes de rester à l'écart des autres lors de la descente aux écuries! On se dit qu'on l'a peut être oublié en haut, donc Thierry est aller voir au prés pendant notre cours et lorsqu'on a fini, Thierry vient nous voir pour nous dire qu'il a retrouver Maya par terre les pattes en l'air et les yeux ouvert à coté d'une plaque de verglas! Elle s'est fracassés les cervicales en tombant! J'en ai pleuré pendant une semaine

Ta pas de chance *sarrasine* moi j'ai eu du mal a me remetre de la séparation que j'ai eu avec une ponette que j'ai aider a débourer

moi je crois que ces triste:
il étais une fois une pouliche de 4 mois eole et sa mère de 14 ans kalisse un jour elle entendirent un bruit de camions dans la cours puis quelqu'un ce dirigeas vers la porte du box et pris kalisse par les crins et la fit rentrer dans le camion mais elle n'obeisser pas donc l'homme pris un fouet et la tapat jusqu'a ce qu'elle rentre mais blesser gravement a la jambe droite anterieur puis le tour d'eole le camion sentais la peur la faim la soif la mort puis après 4 jours de voyage assoiffer kalisse mourus et il ne resta qu'eole debout le camion s'arrêta et fit descendre eole elle seule et elle vues que ces en faite un abattoir une associations qui etais la a pu la prendre en charge et elle ce fit de nombreuse amie.
moi ce qui m'orrifie la faire rentrer a coup de fouet ces horrible.

et une deuxiemes:
ca ces horrible
Nous avons appris de source sûre qu'un poney était entre la vie et la mort chez un marchand de chevaux. Immédiatement, nous avons contacté ce monsieur, prétextant une visite pour l'acquisition d'un autre poney.
Une fois sur place, nous nous sommes vite rendu compte de l'ampleur des dégâts. Ce pauvre petit se tenait sur 3 jambes, le sang coulait le long de son pied et il se lèchait la plaie grande ouverte.

Afin de faire diversion, nous avons discuté d'un autre poney (celui-là en relativement bon état) puis nous avons demandé au marchand ce qu'il comptait faire avec le blessé.
Il nous a répondu, le plus naturellement du monde qu'il attendait simplement qu'il meurt là où il était, c'est-à-dire dans son misérable box, le tout sans rien coûter.
Comptait-il abréger les souffrances de ce malheureux? Il nous a certifié que non. Cela faisait déjà 4 jours qu'il était dans cet état mais si nous le voulions, c'était "cadeau".

Nous ne nous sommes pas fait prier pour retirer ce petit ange de l'enfer. Nous sommes donc repartis avec les 2 et avons contacté, sur le chemin du retour, notre vétérinaire afin qu'il vienne au plus vite pour soulager le pauvre poney.

Notre vétérinaire n'en croyait pas ses yeux. Après avoir tenté de trouver des solutions et d'avoir envisagé toutes les possibilités, il fallait se rendre à l'évidence: l'endormir était la meilleure solution pour son bien-être.

Avant qu'il ne parte, Heaven aura connu quelques heures paisibles, entouré d'amour et d'affection. Ce ne fut pas une décision facile à prendre mais les aimer c'est aussi savoir les laisser partir. Heaven n'est resté parmi nous que quelques heures mais il laisse derrière lui un grand vide.
ces horrible mon pauvre heaven

oui il ont etais acueillit dans mon club en attendant qu'il est de la place dans l'asso mais un en est mort il n'a pas tenue le coup

oui très triste surtout que heavent était pie palomino

Vous en avez peut-être entendu parler parce que cette histoire commence à se propager, ce qui est le but voulut ... Moi je l'ai découvert sur le forum de la FFE(et je l'ai vu sur chevalstar) et je peux pas vous dire à quel point j'ai était horrifiée par la barbarie et la cruauté des hommes. Je ne mets pas les photos car elles sont vraiment choquantes et que ce forum est avant tout un lieu pour ce détendre mais je mets quand même l'article que j'ai trouvé le plus complet et ensuite libre à vous de le lire ou non, moi je diffuse cet article puisque je sais qu'il est vrai et que le but c'est que ça ne recommence pas ....









"C’est le 24 mars 2008 à Taissy (51), en allant voir ses chevaux en pâture comme tous les matins, que Thierry Georgeton a retrouvé sa jument Quamille, sauvagement assassinée.

Sa petite jument Haflinger d’à peine 4 ans avait été abattue puis dépecée sur place, devant les yeux horrifiés de ses compagnons. Les restes de son corps gisaient devant lui : les quatre membres avaient été méticuleusement découpés, ainsi que les « filets » du dos de chaque côté de la colonne vertébrale ; ne restaient plus que la tête, l’encolure, une partie de l’abdomen, et les intestins répandus sur le sol. Le cadavre baignait misérablement dans la boue et une mare de sang s’étendait devant les yeux encore ouverts de la pauvre Quamille.

Sous le choc et totalement atterré par ce sombre spectacle, Thierry Georgeton est anéanti :

« Je suis très choqué car j’aurai en mémoire, pour le reste de ma vie, ces images de boue, de sang, de barbarie. Ses doux yeux sont encore ouverts et semblent me demander ‘’Pourquoi ? Moi qui était si douce, si gentille, si câline et qui travaillait depuis 6 mois à l’attelage avec ma demi-sœur Quannelle, moi qui tirait souvent pour 2, et qui faisait tant confiance aux humains – trop confiance’’ »

Quamille était une jument Haflinger issue de l’élevage du Domaine de la Voie Lactée, à Eschviller en Alsace et avec sa demi-sœur Quannelle, elles formaient ensemble la paire d’attelage de M. Georgeton. Celui-ci ayant créé son entreprise "Les attelages de Verzenay" le 2 janvier 2008, il goûtait tout juste au bonheur de travailler avec ses deux adorables juments.

« Cet après-midi je me sens seul et Quamille me manque déjà trop. J’ai mis Quannelle à l’abri de la folie des hommes, mais pour combien de temps ? »

Devant les méthodes employées pour réaliser ce véritable carnage, la piste de tueurs expérimentés est la plus plausible. Thierry Georgeton le dit lui même : « Ceux qui ont massacré Quamille ne sont pas des amateurs ». Ils ont apparemment utilisé une arme à feu pour abattre Quamille le long de la clôture avant de la tirer sur le chemin (la jument avait un trou sur le front mais pas de balle apparente) et elle a été découpée très proprement, apparemment avec un outil électrique. Leur crime était par ailleurs bien organisé : Ils avaient découpé et rabattu le grillage comme pour se faire une porte, et avaient prévu des sacs poubelles pour transporter les morceaux. Cela ne fait aucun doute : les tueurs sont venus pour la viande (ils n’ont d’ailleurs rien volé du matériel entreposé dans le pré) et ils ont retiré plus de 150 kilos de chair de Quamille (un kilo de viande de cheval peut se revendre illégalement pour environ 10 euros).

La gendarmerie enquête sur ces ‘’bouchers d’une nuit’’ et il ne reste plus qu’à espérer que la justice saura retrouver ces abominables assassins et les punir à la hauteur de leurs actes.

Comment se remettre d’un tel drame ?

Thierry Georgeton doit maintenant réparer les dégâts infligés aux survivants. En effet, ayant assisté au massacre de leur camarade, Quannelle, Flocon et Viking, ont été traumatisés : « D’habitude, ils viennent me voir mais là, j’ai du mal à les approcher. Ils ont peur. Leur confiance en l’homme a été balayée. Il va falloir des mois de travail pour les réapprivoiser. »

« Et il faut surtout repartir vers l’avant, recréer une nouvelle paire à l’attelage, panser les plaies de l’âme... et essayer d’apprendre à pardonner… »

A juste titre, Thierry Georgeton a tenu à faire circuler les photos insoutenables du cadavre de sa jument, afin de montrer de quelle barbarie sont capables les humains, « pour s’amuser, pour manger de la viande de cheval ou pour ce satané argent qui nous gouverne… »

Au delà du drame affectif et affligeant que représente le massacre de Quamille, certains points méritent d’être soulevés.

Tout d’abord, il ne faut pas oublier que dans les textes de lois, les animaux sont placés au même titre que de vulgaires meubles. C’est pourquoi même si les coupables sont finalement retrouvés, leur punition sera malheureusement bien moindre par rapport à la barbarie de leurs actes. Pour un grand nombre de personnes, leurs animaux font partie de la famille, mais aux yeux de la loi, il ne sont pas considérés comme tels. Une telle tragédie devrait contribuer à faire évoluer la place des animaux dans la société et surtout aux yeux des autorités.

Ensuite, puisqu’il est question ici de trafic de viande, il paraît quand même inconcevable que de la chair arrachée à un cheval domestique dans sa pâture se retrouve à la consommation ! Il est évident que le manque indéniable d’hygiène représente un réel danger pour les consommateurs, sans parler des diverses substances ou médicaments éventuellement ingérés par l’animal avant sa mort. Il est alors intéressant de rappeler que la viande d’un cheval ayant reçu peu de temps auparavant un traitement médicamenteux n’est pas consommable et son ingestion expose à d’importants problèmes de santé ! Les assassins de Quamille s’étaient-ils assurés avant de revendre ( ou « distribuer » ) sa viande potentiellement dangereuse que celle-ci était réellement consommable et sans risque de contamination ? On peut donc en conclure qu’en plus d’avoir commis sauvagement un crime, ces barbares ont également mis en danger la santé d’autres personnes !

Enfin, le manque de sécurité pour nos compagnons à sabots est vraiment inquiétant. Après un drame comme celui de Quamille, comment pourrons-nous laisser nos chevaux profiter paisiblement de l’herbe des pâtures en ayant l’esprit tranquille ? "

Photo de Quamille :

je les vue aussie mes moi c'etait un cheval de trait une jument qui allaiter

Oui j'ai lu cette histoire hier sur chevalstar. J'ai trouvé ça horrible! pauvre petite jument, ça a du être affreux pour les proprios de la retrouver déchiqueté dans son pré. On se demande comment des hommes peuvent être aussi cruels envers de pauvres animaux, juste pour de la viande!